C'était une guerre de rue, entre un gang de filles
et un groupe de voyous pleins de bière. Une des filles
avait été brutalement violée par le groupe
de mecs. Les filles voulurent se venger.
Elles attendirent, cachées dans une ruelle, jusqu'à
ce que Ricco, le Chef, soit seul.
Il était seul maintenant dans cette ruelle sombre.
Cinq d'entre elles commencèrent à le marcher
dans sa direction ; il s'aperçut rapidement qu'il était
suivi et il commença à courir.
Mais les autres filles l'attendaient au bout de la ruelle.
Il commença à paniquer !!! Les filles l'encerclèrent
rapidement.
Une des femmes leva son pied et lui présenta ses talons
aiguilles. Cette femme mesurait environ 1.90 m, elle chaussait
au minimum du 44. Son talon devait faire 20 cm de long. C'était
une black, ses cuisses étaient terriblement musclées.
- Salut, petit mec. Sais-tu ce que je porte au pieds ? De
belles chaussures que je vais faire reluire en les frottants
contre tes noisettes !!
Les dix femmes éclatèrent de rire.
Ses copines aussi levèrent leurs pieds pour présenter
au malheureux leurs dangereuses chaussures.
De désespoir, il tenta de sortir du cercle infernal.
La grande black l'arrêta d'un brutal coup de pied entre
ses jambes, poussant ses testicules vers le haut contre son
ventre. Il se raidit de douleur. Ses boules palpitaient de
douleur. Il s'écroula en sanglot. Les filles le saisirent
et le portèrent sous un réverbère pour
le ficeler.
Les femmes saisirent ses bras et ses jambes. L'une d'elles
ouvrit son jeans et lui baissa le pantalon. Il se tenait là,
honteux, dans son slip trop court. Une autre femme saisit
la bande élastique et regarda à l'intérieur.
- Oh, un pénis mou et de toutes petites noisettes
! Les femmes rigolaient de plus belles Elle souleva son slip,
en passant le tissu entre ses couilles.
- Regardez les filles si ce n'est pas mignon !
Les filles l'encouragèrent à le soulever du
sol. Les yeux de toutes ces femme étaient fixés
sur les deux boules roses du malheureux qui se balançaient
. Une des filles s'avança. Elle avait dans sa main
deux noix qu'elle faisait rouler entre ses doigts agiles,
mais néanmoins musclés. Elle porta les noix
devant le visage du malchanceux. Elle saisit, de son autre
main, deux autres noix bien plus fragiles. Il transpirait
de tous ses pores. La femme lui parla tranquillement.
- Connais-tu le jeu du casse-noix ?
Les femmes voyaient les noix dans la main gauche et les testicules
dans l'autre, rouler entre les doigts de cette furie.
- Je t'explique. Je serre simultanément les noix et
tes noisettes. Il faut que j'écrase les noix avant
tes petites boules.
Son visage devint livide, ses yeux roulaient dans tous les
sens. Une des femmes lança.
- Regardez ! On dirait que ses yeux suivent les mouvements
de ses petites boules, ils doivent y être reliées.
Toutes se mirent à rire de plus belle.
- C'est vrai les filles !. D'ailleurs je vais les presser
jusqu'à ce que ses yeux lui sortent de la tête.
A ce moment, un bruit curieux retentit, comme une éponge
que l'on vide de son eau. Le jus de ses couilles giclant entre
les doigts musclés de la furie. En même temps,
un autre bruit retentit
celui des noix
- Perdu, dit-elle en relâchant ses testicules. Ils
ressemblaient à de la purée dans un sac de plastique.
Toutes observaient le spectacle avec délectation. Elles
en étaient humides de plaisir, entre le rire et les
cris de moquerie.
Elles le quittèrent, le laissant ficelé comme
un saucisson, pendant lamentablement au réverbère.
Romulus Remus.
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